Un roman noir à lire absolument !
Que vous dire de ce roman, de cette auteure.
Une bombe, une tuerie, un futur best-seller.
Parce que Virginie, c’est de l’authenticité, de l’amour en barre, des recherches tellement approfondies qu’on s’y croirait.
J’ai attendu son troisième roman avec une certaine impatience. Je dois avouer que je suis amoureuse de sa plume comme je le suis de celle de Stephenie Meyers. Pourtant, les genres ne sont pas les mêmes, mais la puissance que je ressens dans ma lecture est intense, forte, réel.
Quand je lis un livre de Virginie, je sais que je ne serais pas déçue, parce que mon cœur et ma raison seront mis à rude épreuve. Les mots sont justes, choisis à la perfection. La poésie qui en découle contraste avec les atrocités de l’époque.
Les personnages deviennent réels et j’ai eu l’impression de vivre avec Gabrielle, Elliot et Alexander tout au long de ces pages. J’ai ressenti leur aversion, leur tristesse, leur souffrance, leur moment de joie et de bonheur. L’auteure nous plonge dans un Paris de 1900 juste horrible où les chiens étaient mieux considérés que des enfants. Combien ont péri à cette époque, combien d’ordure aurais du être jeté en prison plutôt que ces pauvres gosses…
Je n’en dirais pas plus de peur de spoiler, mais sachez que, comme chaque roman de Virginie, vous refermerez ce livre le cœur serré par la vérité, les larmes sur les joues et la raison ouverte sur une possibilité d’un monde meilleur.
Résumé
Eliott et Gabrielle vivent leur vie de gosses des quartiers populaires. Petits boulots, coups tordus et rêves éphémères. Alexander Clayton, entomologiste passionné et solitaire, tente de renouer avec le monde qui l’entoure.Mais dans ce Paris surveillé par des flics enragés et une Justice prédatrice, leur monde est sur le point de se faire écraser. Dès lors, les instincts se révèlent.D’un côté, la loi. De l’autre, ceux qui n’ont plus rien à perdre.Un roman noir inspiré de faits réels, qui nous plonge dans le Paris du début du XXe siècle et qui nous pose cette question terriblement d’actualité : Supporteriez-vous de vivre dans un pays où la pauvreté est un crime ?.
L’auteure
Un commentaire sur “La valse des éphémères de Virginie Lloyd”