Mes galères d’auteure ou tout ce qu’il ne faut pas faire ! #4

La mise en page !

Dans mes galères d’auteure ou tout ce qu’il ne faut pas faire, je vais te parler de mise en page !

Mais qu’est-ce que c’est ?

Word ? Je connais… Au collège on faisait du traitement de texte… 

MDR ! On n’en est plus là. 

Pourquoi je dis ça ?

Quand j’ai commencé à écrire et surtout à essayer de faire les choses mieux, j’ai cherché un bêta-lecteur (on en reviendra dans un autre article) et je suis tombé sur Nil Borny, le Nil qui cartonne avec ses romans de gare de RER et son Friller.

Pour retrouver mon avis sur Imbroglio c’est ici!

Bref, je tombe sur ce monsieur à l’humour décapant qui me refile pas mal de tuyaux et qui accepte de lire mon texte. Mise à part la lecture du texte, il me parle de mise en page. De là, il commence à me parler justification, alinéa, tabulation…

STOP !

Justifier mon texte ? C’est quoi, prouver que c’est moi qui l’ai écrit ? Bah non, faire la mise en page. Voilà, où j’en étais à ce niveau là. Il a dû se dire que j’étais une vraie brèle.

Il m’a appris pas mal de truc là-dessus. Merci mon petit Nil si tu vois cet article. 😉

Puis de moi-même (parce que je bosse un peu quand même), j’ai cherché et j’ai également eu la chance de faire un atelier avec BOD qui expliquait quelques points clé de la mise en page. 

Désormais, je suis au taquet sur les mises en pages et je me forme sur la mise en page plus poussée. (Celle avec des dessins et tout ça !)

Quelques règles !

  • Justifier un texte consiste à le rendre présentable. C’est tout con, la coche justifier existe partout sur les logiciels de traitement de texte. Le tout est de la savoir !
  • En règle générale, on demande un alinéa de 0.5 pour chaque début de paragraphe. Pour le régler, onglet tabulation. 
  • Un interligne à respecter, encore-là, en général on est entre 1 et 1.5 max. Au-delà, ca fait vraiment trop d’espace et en dessous, tu as besoin d’une loupe pour lire et ça, c’est moins cool.
  • Toujours démarrer un chapitre sur une page impair. Sauf si comme Chattam tu écris des pavés de 800 pages et que tu passes en Pocket. 
  • Un saut de page à chaque fin de chapitre t’éviteras bien des désagréments par la suite !
  • Le roman se compose ; d’une page titre, une seconde page titre avec le nom de l’auteur, et éventuellement le genre. Une page avec les mentions légales. Le roman(sinon c’est ballot). Tu peux ajouter une bibliographie, une biographie, des remerciements. Après c’est à la convenances de chacun. 
  • Les pages doivent être numéroté en dehors de ; page titre, mention légale, remerciements etc. En bref, uniquement le texte.
  • En ce qui concerne la police (non pas ceux qui te foutent des amendes, je te parle de la forme de l’écriture). Là, c’est plus un choix personnelle.  Cependant, les classiques sont préférables comme ; Arial, Georgia ou Times new roman ou encore Garamond pour le papier. La taille est en général de 12 mais c’est aussi selon la taille du roman. Tu pourras mettre 12 si tu as 250 pages mais peut-être 11 si tu as 800. À toi de voir ce que ça donne. 
  • Limiter le changement de police. Évite de mettre gras, italique, gros, petit… bref limite et créer une harmonie.  
  • Une page blanche en fin. 

En conclusion !

Que ce soit pour de l’autoédition ou pour une soumission en maison d’édition, tu te dois t’apporter une certaine propreté à ton texte. Pour la ME, aligne toi à leur désirata pour avoir plus de chance. Et pour l’AE, ma foi, plus tu feras professionnel, plus les gens apprécieront ton texte. Rien de plus désagréable qu’un texte en vrac. 

J’espère t’avoir aider et je te retrouve la semaine prochaine pour parler de la bêta-lecture. 

anaismony

4 réflexions sur « Mes galères d’auteure ou tout ce qu’il ne faut pas faire ! #4 »

  1. lol, le justifier mon texte m’a fait beaucoup rire, sorry. J’ai de la chance, ma formation professionnelle m’ éviter ces galères là 😀

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